mardi 29 septembre 2009

Aux trois coups.





A l'écoute de: Brassens-la complainte des filles de joie..
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(...) L'identité des troubles provoqués par le surréalisme, par la fatigue physique, par les stupéfiants, leur ressemblance avec le rêve, les visions mystiques, la séméiologie des maladies mentales, nous entrainent à une hypothèse qui, seule, pouvait répondre à cet ensemble de faits et les relier : l'existence d'une matière mentale, que la similitude des hallucinations et des sensations nous forçait à envisager différente de la pensée, dont la pensée même ne pouvait être, et aussi bien dans ses modalités sensibles, quun cas particulier. Cette matière mentale, nous l'éprouvions par son pouvoir concrèt, par son pouvoir de concrétion
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Louis Aragon, " Une vague de rêve"

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